Pentax a annoncé aujourd'hui un nouveau bridge d'entrée de gamme, le XG-1, qui mise sur sa réactivité.
C'est aujourd'hui au tour de Ricoh d'annoncer un bridge aux faux airs de reflex. Le fabricant ne répond pas pour autant aux Sony RX10 et Panasonic FZ1000, qui ont donné un nouvel élan au segment, mais mise sur quelques gros chiffres pour séduire les photographes du dimanche en entrée de gamme.
Le principal point distinctif du nouveau Pentax XG-1, sur son segment, c'est sa cadence de prise de vue élevée. En rafale il peut atteindre 9 i/s en pleine définition, 30 i/s à 4 millions de pixels ou 60 i/s à 300 000 pixels (VGA). C'est le réglage intermédiaire qui est le plus intéressant, puisque pour des ralentis plus importants, des caméras sportives telles que des GoPro peuvent filmer à 60 i/s en Full HD 1080p ou à 120 i/s en HD 720p, soit à 2 millions et à 921 600 pixels. L'autofocus parviendrait à maintenir le point pendant les rafales, mais on ne sait pas combien de temps ces rafales peuvent durer.
Ce bridge dispose par ailleurs d'un puissant zoom 52x, offrant une équivalence 24-1250 mm f/2,8-5,6. S'il est lumineux en position grand angle, il l'est raisonnablement en position téléobjectif. Le petit capteur CMOS rétro-exposé au format 1/2,3 pouce est heureusement stabilisé sur deux axes. Il totalise 16 millions de pixels, filme en Full HD 1080p à 30 i/s et plafonne à seulement 3200 ISO.
L'appareil comporte enfin un écran LCD de 3 pouces affichant une modeste définition HVGA (480 x 320 pixels soit 460 800 points) ainsi qu'un viseur électronique anecdotique affichant une définition QVGA d'un autre temps (320 x 240 pixels soit 230 400 points). Il est dépourvu de Wi-Fi.
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Le Pentax XG-1 sera disponible en France au début du mois d'août pour 300 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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