Enfant, ce Breton rêvait d’être marin. Devenu artiste, Nicolas Floc’h s’est mis en tête de prendre en photo les mers et océans. Un inventaire un peu “fou” pour rendre compte de leurs transformations.
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Publié le 17 février 2021 à 15h00
Mis à jour le 26 février 2021 à 15h49
Depuis l’enfance, Nicolas Floc’h plonge dans le « glaz ». Dans cette couleur qui, en breton, signifie « bleu-vert ». Celle de la mer, qu’il n’a cessé d’explorer par la pratique de l’apnée. Qu’y avait-il donc dans les profondeurs de cet océan si vaste qu’il représente 71 % de la superficie de la Terre, si profond qu’il correspond à 97 % de son volume d’espace habitable — mais dont l’humain reste pour l’essentiel ignorant —, se demandait-il à l’âge de 10 ans ? « Comme si une réalité qui nous est invisible n’existait pas. Comme si la surface de l’eau faisait écran pour nos cerveaux », remarque le plasticien aux racines finistériennes.
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